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 je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna

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Gabriel L. Stormrage
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Gabriel L. Stormrage
Le liberté est l'un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens; qui chantent plus qu'ils ne parlent; qui demandent plus qu'ils ne répondent; de ces mots qui font tous les métiers.
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J'ai posté : 94 Âge : vingt-cinq ans Métier : barman - ancien militaire rapatrié Situation civile : célibataire Race : loup-garou Adresse : une maison rénnové par les soins de sa soeur dans les quartiers est de Twin Cover Célébrité : hayden christensen Pseudo : asylium Crédits : avatar: voir sur ce dernier

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MessageSujet: je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna   je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna EmptySam 15 Mar - 18:44



je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras



La plupart des humains cherchent la tranquillité dans le bonheur. Le bonheur dans la tranquillité. Il est devenu lieu commun que de dire qu'une fois heureux, on n'a plus a se soucier de rien et qu'il est aisé de s'asseoir sur une chaise longue pour profiter du soleil du début de l'été. Jour après jour. Répéter à chaque instant ce que l'on a pu faire l'instant précédent. Il s'installe alors une monotonie dans le bonheur voulu et il est aussitôt envolé que l'on se rend compte qu'on s'emmerde pas mal dans ce quotidien qui pourtant était sensé nous apporter le bonheur, le happy end. Le genre de vie de la femme au foyer, la quarantaine, dont le mari part bosser cinq jours sur sept pour permettre a sa famille de partir en vacance lorsque les gosses ont leurs vacances scolaires. C'est sensé être l'objectif de toute personne sur terre, non ? Une belle maison, une grande voiture, une gentille petite famille qui pète jamais de travers. Mon cul ouai ! Ca existe pas ça, ça a jamais existé. Même dans les films il y a toujours un problème, un accrochage. Le mari qui trompe sa femme avec une jeunette, blonde aux yeux bleus, la femme qui s'enfuit avec le mécanicien, la plus jeune des filles qui fugue, le grand frère qui fait son coming out alors que c'est tabou dans sa famille. La vie parfaite existe pas, personne ne peut prétendre être la perfection incarné. Et dans toutes ces niaiseries, je me perdais, j'étais paumé là-dedans. Je comprenais pas les films à l'eau de rose tout autant que je comprenais pas pourquoi une femme se mettait subitement à éviter un homme pour la simple et bonne raison qu'ils s'étaient embrassés et que...mais non c'est justement ça le problème, y a aucune raison, aucune justification. Je comprenais pas pourquoi elle fuyait mes regards, pourquoi elle essayait par tout les moyens de ne jamais se retrouver seul avec moi. Je comprenais, et ça m'énervait. J'étais vexé et je détestais ça.

Je n'aimais pas la tournure qu'avait pris les évènements, le fait de ne plus pouvoir lui parler pendant et après le service. J'aimais pas ça, ça enlevait de l’intérêt à venir bosser. On avait rien fait de mal, du moins c'est ce que je pensais. Alors quoi, elle avait un copain ? Elle était lesbienne ? J'étais pas un aussi bon coup qu'elle l'avait peut-être espéré ? Elle avait trop bu et maintenant je la dégoûte ? Qu'est-ce que je pouvais en savoir moi ! Peu importe l'heure, peu importe ô combien le bar sera vide, elle trouvera toujours un moyen de se défiler et de me laisser en plan comme un idiot. Et le seigneur savait combien je pouvais détester avoir l'air d'un con. Je voulais des explications, ses raisons. Je voulais réentendre sa voix m'appeler, rire à mes blagues à deux balles. Plus les jours passaient, plus elle me manquait et plus je m'insupporter d'avoir besoin d'elle a ce point-là. L'Homme est sensé être libre, alors pourquoi son regard avait-il le don de m'enchaîner tel un animal fou que l'on prépare pour l'euthanasie ? J'aurais préféré pouvoir l'oublier, pouvoir démissionner et me barrer ailleurs. Mais je n'allais pas laisser cet incident détruire ce que j'avais commencé à construire ici, à Twin Cover. J'ignorais encore tout de cette ville, de ses habitants et de ce que je pouvais être. J'étais maintenant certain de ne plus être un être humain normal. Quelqu'un de normal ne régénère pas, ne cours pas plus vite, n'entend pas la mouche qui cogne contre le carreau de la maison d'à côté, ne sent pas les phéromones des ado pré-pubaires qui me commandent une bière en gloussant devant l'interdit. Non, c'était certain, j'avais cessé d'être humain la nuit où mes ongles devenus de longues griffes jaunes s'étaient enfoncé dans le corps fragile d'Orlane et avait arraché la vie de son corps sans le moindre remord. Mais alors...qu'étais-je ?

Le bruit grésillant de la vieille radio posée sur le bar glissait sur les tabourets désormais vide et le comptoir rempli de verres délaissé de toute boisson. C'était un soir de semaine, les étudiants avaient cours le lendemain et les derniers réfractaires s'en étaient allés vers les deux heures du matin. J'avais mal d'avance pour eux, lorsque dans quatre heure leurs réveilles sonneront. Mais je n'allais pas les blâmer, je ne pouvais prétendre avoir été meilleur modèle durant mes études. Je tournais mon visage vers l'horloge ronde accroché derrière le comptoir. Trois heure et trente-deux minutes. Je soupirais et me tournais vers la salle que je passais au crible d'un regard. Un soupir amusé m'échappa alors que la silhouette d'un ado reposé mollement sur une des tables du fond. Je sortais de derrière le comptoir et m'avançais vers le jeune qui s'était, à première vue, effondré pour pouvoir mieux décuver. "Eh mon gars..." dis-je doucement en m'accroupissant et secouant légèrement son épaule. Un grognement puant l'alcool arriva jusqu’à ma figure que je reculais pour éviter les effluves d'alcool. "On va fermer mon pote...tu peux te lever ?" demandais-je alors que je l'aidais à se redresser. Son visage était blafard et je devinais aisément qu'il ne réussirait pas à rentrer à pied. "Je vais appeler un taxi...t'habites où ?" il réussit à m'articuler le nom de sa rue et le numéro de son appartement et je me dépêchais de retourner derrière le bar pour me saisir du fixe. Une dizaine de minute plus tard, j'aidais le jeune à s'introduire dans le taxi avant de filer un billet au chauffeur et de les voir disparaître au coin de la rue. Je me retrouvais alors seul sur le trottoir, alors que l'air frais vint se plaquer contre mes joues et mes avant-bras. J'avais remonté les manches de mon sweat au fil de la soirée et désormais j'en profiter pour refroidir un peu mon corps qui ne cessait de m'en faire voir de toutes les couleurs. Je fermais quelques instants les yeux, profitant du calme de la nuit et de l'absence de bruit. Je restais ainsi de longues minutes avant de m'en retourner dans le bar. Je savais n'être pas seul, je savais qu'elle était là, j'entendais les battements de son coeur cogner quelques part dans le bâtiment. Mais si elle ne voulait pas se montrer, tant pis pour elle. Je n'allais pas lui courir après ! J'avais ma fierté, je ne comptais pas ramper derrière son ombre en espérant qu'elle m'adresse ne serait-ce qu'une seconde d'attention. Ça m'embêtait beaucoup, je n'aimais pas qu'elle ne me parle plus, qu'elle m'évite et je détestais ne pas savoir pourquoi. Mais si elle ne voulait plus entendre parler de moi, a son aise, c'est ainsi que ça allait se passer...Je m'en retournais donc derrière le bar et commençais à nettoyer les verres laissés sur le comptoir. Une dizaine fut nettoyés lorsque je les empilais sur un plateau pour aller les ramener en cuisine. Je poussais donc la porte avec mon dos pour me retrouver face à face avec la jeune femme qui hantait mes rêves et faisait naître en moi colère et désir. Un sursaut me transperça alors que la pile de verre s'ébranla dangereusement. Je me dépêchais de poser le plateau sur une des surfaces et de poser mes mains sur les piles de verre pour les stabiliser. "La prochaine fois ça serait sympa de prévenir où t'es, que je sache où je dois éviter d'aller !" lançais-je d'un ton peu sympathique que je regrettais rapidement.  


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Eanna MacClelland
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MessageSujet: Re: je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna   je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna EmptySam 15 Mar - 23:55


 

 

  Gabriel & Eanna
  j'inventerais des mots insensés, que tu comprendras

Des moments difficiles, on en vit tous. Certains préfèrent les endurer sans piper mot. Certains les affrontent de tête. Certains les fuient. Qu’est-ce qui pousse une personne à supporter de tout son poids une situation qui lui est infernale, et ce, sans qu’un seul mot ne sorte de sa bouche. Qu’est-ce que cela veut bien dire? Que cet individu est faible? Qu’est-ce qui pousse une personne à défier sans relâche une période ardue? Est-ce que cela signifie qu'elle est courageuse? Qu’est-ce qui pousse un être à s’enfuir devant un  temps éprouvant? Est-ce que cela veut dire qu’il est un lâche? Tout le monde a ses forces et ses faiblesses. Juger une personne sur un acte qu’il pose parmi ses millions d’autres n’est qu’un signe de fermeture d’esprit. Cela, mes amis, m’a toutefois pris du temps à comprendre.
Je fais partie de ces gens qui ont fui un moment difficile. Lorsque ma mère est décédée, alors que je la voyais souffrante depuis un moment déjà, j’avais cru ne jamais pouvoir vivre comme avant. Une partie de moi s’était éteinte, aussi vite qu’un souffle peut éteindre une chandelle. Toutefois, ce n’est pas la mort de ma mère qui m’a fait quitter l’Angleterre, mais bien la découverte de mon adoption. Je n’arrive toujours pas à mettre sur mots l’ouragan d’émotions que j’ai ressenti en apprenant que mes parents n’étaient, en fait, pas mes vrais parents. Mais qui étais-je donc?
C’était le matin. Le ciel était encore noir et parsemé d’étoiles, mais c’était le matin. Le Moon Bar arrêtait la vente d’alcool, vidait ses chaises et ses banquettes, fermait ses portes. Ce soir avait été un soir épuisant. Je n’avais pas arrête une minute. Je m’étais même pris avec un client saoul qui ne cessait de crier mon prénom à chaque minute pour que je vienne le servir. Finalement, j’en avais eu marre, puis je lui ai versé un pichet d’eau sur la tête avant de le traiter de « stupide ivrogne bon à rien ». Laissez-moi vous dire que je me suis bien fait engueuler par la direction.
Nous étions deux ce soir à fermer le bar. Il y avait moi, bien entendu, et Gabriel. Ce dernier et moi-même, nous nous étions embrassés le jeudi non pas de la semaine dernière, mais de l’autre. Depuis, je n’avais cessé de l’ignorer. La raison du pourquoi était la peur.
J’étais dans la cuisine. Je sortais les nouveaux verres de leur boîte en carton. Pour la troisième fois. Gabriel était dans le bar et je ne voulais pas le croiser. Je me cachais donc parmi les fourneaux et les frigidaires. Le temps passait et le bruit diminuait. Lorsque je fus convaincue qu’il ne restait plus personne dans le bar, y compris Gabriel, je décidai de sortir de ma cachette. Au moment même où j’allais tirer la porte de la cuisine, celui que j’évitais survint, me faisant sursauter. Il me lança alors une phrase assez peu sympathique, qui me fit aussitôt sentir mal. Je décidai toutefois de ne pas le laisser paraître.
- Tu n’as juste à pas te mettre sur mon chemin! répondis-je en lui faisant une grimace.
J’époussetai mon gilet noir avant de tourner les talons et de me retourner vers lui.
- Tout est en ordre ici. Est-ce qu’il reste des clients? Je voudrais partir si ça ne te dérange pas, dis-je en le regardant seulement deux petites secondes dans les yeux avant de baisser mon regard sur le plancher maintenant tout propre de la cuisine.
J’étais nerveuse, la seule présence de Gabriel me donnait des papillons dans le ventre. Ma nervosité paraissait dans mes gestes, surtout au niveau de mes mains, qui n’arrêtaient de chercher quelque chose à faire.

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Dernière édition par Eanna MacClelland le Mar 18 Mar - 4:58, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna   je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna EmptyDim 16 Mar - 10:54



je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras



Pourquoi est-ce que j'avais besoin de me comporter ainsi ? Ca aurait été tellement plus facile de laisser couler, de la laisser partir et de ne plus jamais poser mes yeux sur elle. Mais je ne pouvais pas, j'avais besoin d'elle dans mon quotidien. Maintenant qu'elle en faisait partie, elle ne pouvait pas simplement décider d'en sortir comme si c'était la chose la plus normale au monde. Non. Elle devait rester là, près de moi. Il n'y avait pas de grandes raisons scientifiques, sentimentales. Non, je n'étais pas amoureux d'elle. Mais j'avais cette attirance qui promet de grandes choses à ceux qui ont la patience et la volonté d'y céder. Et je ne pouvais pas faire ça tout seul, il fallait qu'elle aussi ressente cette attirance envers moi et ce début d'attachement que l'on ne lie qu'avec une seule personne. Et si elle ne le voulait pas, alors je n'allais pas l'y forcer. Mais une partie en moi ne pouvait s'empêcher de se battre, de se rebeller contre ce que je devrais faire. A l'instant présent, j'aurais dû laisser tomber, me retourner, lui dire bonne nuit et m'en aller. Rentrer dans cette maison vide où Olive dormirait sagement. Accrocher ma veste sur le porte-manteau de fer et monter les marches me menant à ma chambre. Une chambre qui était à l'origine celle de ma soeur, mais que j'avais finalement décidé d'occuper pour éviter de me retrouver dans cette petite pièce où j'avais l'habitude de dormir quand j'étais encore scotché dans un fauteuil roulant. D'ailleurs, personne ne m'avait jamais demandé pourquoi j'avais quitté cette chose, pourquoi j'ouvrais à nouveau mes deux yeux. A croire que ma venue dans cette ville était trop récente pour que quiconque se soucis de moi. Et pourtant quelqu'un l'avait fait, ou plutôt quelque chose. Cette chose qui avait enfoncé ses crocs dans mon corps, me laissant agonisant sur le sol et hurlant de douleur. Ça avait été tellement douloureux...a force les cris devenaient inutiles tellement ils n'arrivaient plus à exprimer le malaise et le venin qui s'insinue dans les veines et les muscles.

"Tu n’as juste à pas te mettre sur mon chemin!" l'entendis-je me dire alors qu'elle me faisait dos. Nous devions avoir l'air affreusement pathétique et pour cause, quoi de plus horripilant que deux grandes personne n'osant pas se faire face et se contentant de pics d'adolescent pour montrer à l'autre que ohlala je suis très fâché contre toi. Mais fâché pour quelles raisons ? Aucune idée. Simplement énervé. Honnêtement, j'étais hors de mes pompes à l'instant dit. Je m'énervais très facilement depuis quelques temps et ce n'était pas normal, cette colère, elle puisait sa force en moi comme on aspire la vie d'un corps. Anormal et dérangeant. Alors je me contentais de serrer les poings et de me concentrer sur quelque chose d'autre. Mon ouïe submergé par les pulsation de nos deux coeurs, battant à l'unisson car s'unissant dans la même rage de paraître, de renvoyer l'autre dans ses tranchés. Je me tournais vers elle, mes mains toujours appuyés sur le rebord de l’élément de cuisine. "Tout est en ordre ici. Est-ce qu’il reste des clients? Je voudrais partir si ça ne te dérange pas" son ton nerveux venait cogner contre mes tympans et me donnait la chair de poule. Avait-elle au moins la moindre idée du torrent d'émotions toutes plus contradictoires les unes que les autres, qu'elle faisait naître en moi ? C'était insensé. "J'ai appelé un taxi pour le dernier client, donc oui, c'est vide. A part nous, y a plus personne." eus-je l'impression de devoir préciser. Je passais une main sur mon visage avant de m'avancer vers elle et de croiser mes bras. "Eanna. Pourquoi tu m'évites ? Qu'est-ce que j'ai fais de mal ?" est-ce que j'avais été trop brusque ? Est-ce que je lui avais donné l'impression de ne pas lui donner le choix ? Est-ce que...est-ce qu'elle se sentait salie ? Je ne voulais pas qu'elle pense ça, qu'elle ressente ce genre de chose. J'aurais aimé pouvoir poser un sourire sur ce magnifique visage plutôt que de la nervosité dans ce superbe corps.

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MessageSujet: Re: je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna   je t'inventerais des mots insensés, que tu comprendras ± eanna EmptyLun 17 Mar - 23:36


   

   

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