| | on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mar 11 Mar - 22:13 | |
| Gabriel Lycaon Stormrage ILS BOIVENT A LA SANTE DES PUTAINS D'AMSTERDAM, D'HAMBOURG OU D'AILLEURS. ENFIN, ILS BOIVENT AUX DAMES.
vingt-cinq ans vingt-trois décembre une bourgade du pays de galles barman - militaire rapatrié célibataire bisexuel Moon miscellaneous MORE ABOUT YOU
Depuis quand le personnage est à Twin Cover ? Gabriel a emménagé à Twin Corver il y a de cela neuf mois alors qu'il venait de sortir de l’hôpital suite à deux longues années de rééducation. Avec sa soeur, ils ont pris la voiture et se sont arrêtés dans la première ville qu'ils ont trouvés pour poser leurs valises.○ Que pense t-il de la ville ? Plus ou moins sympathique, ça pourrait être mieux (il pourrait ne pas y avoir tout ces meurtres et l'abondance de surnaturel à chaque coin de rue), mais ça pourrait être bien pire. Disons que les apparences tranquilles de la ville rattrape un peu l'envers du décor. ○ Quel est son caractère ? artiste + agressif + bagarreur + blessant + borné + cachottier + calculateur + ambitieux + aimable + apaisant + appliqué + audacieux + autonome + aventureux + bienveillant + combatif + peu communicatif + courageux + créatif + passionné + intense + déterminé + directe + cassant + droit + émotif + empathique + grossier + fidèle + impatient + imaginatif + impulsif + intuitif + jaloux + joueur + observateur + lunatique + pointilleux dans son travail + ponctuel + sincère + tenace + travailleur + vigilant + râleur + sensible + susceptible . ○ Ses tics et manies ? il ne supporte pas qu'on lui touche la nuque + ses pupilles sont teintés de bleu lorsqu'il prend sa forme lupine + il fume beaucoup, ne craignant pas les effets de la cigarette grâce à sa régénération de lycanthrope + il possède une beauceron appelé olive + il est très agile avec ses griffes et ses crocs + il est souvent pris de cauchemars et d'insomnie + il ne cache pas sa bisexualité + l'hiver est sa saison préférée + il lit beaucoup + s'il avait eu le choix de faire ce qu'il voulait de sa vie, il serait devenu danseur contemporain + il sait jouer du violon + il sait manier quelques armes blanches + il s'est promis de ne jamais trop s'attacher à quelqu'un pour que cette personne ne finisse pas comme Orlane + il se sent toujours extrêmement coupable du meurtre de cette dernière et n'arrive pas à passer à autre chose + c'est un maniaque de la propreté
| supernatural MAGIC AND YOU
Race du personnage ? Il y a de cela quatre mois, Gabriel s'est fait mordre par un alpha. Il est désormais un loup-garou, bêta d'un alpha qu'il n'a jamais rencontré. ○ A t-il connaissance du surnaturel ? Le contraire serait assez gênant. Oui, il en a connaissance. Une connaissance qu'il s'est forgé par ses propres moyens grâce à ses recherches et certaines personnes qu'il a rencontré au fil des semaines et qui se sont révélés familière à ce monde totalement nouveau à ses yeux. ○ Quel est son ressenti face aux meurtres à Twin Cover ? Il en ignore la cause, l'origine et cela le perturbe. Un jeune loup qui ne saurait se contrôler ? Quelque chose d'autre ? Il l'ignore. ○ Avez-vous des informations à fournir concernant les meurtres ? C'est jamais joli-joli si vous voulez son avis. |
Asylium/Julie ○ 17 ans ○ France ○ 5/7j ○ Bazzart ○ Hayden Christensen
Dernière édition par Gabriel L. Stormrage le Ven 14 Mar - 22:05, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mar 11 Mar - 22:17 | |
| Anyone. Anytime. Anyplace. I'M ONLY HUMAN AND I BLEED WHEN I FALL DOWN. YOUR WORDS IN MY HEAD, KNIVES IN MY HEART. YOU BUILD ME UP AND THEN I FALL APART.
Les jeunes années qui débutent la vie d'un enfant se doivent d'être heureuses et douces. Il est dans ces moments-là utile, voir même nécessaire, de lui inculquer certaines valeurs et croyances qui, bien qu'illusoires, lui donneront les outils nécessaires pour qu'il pose les bases saine de la personne qu'il sera plus tard. La petite souris, le père Noël, l'absence de personne mauvaise, les parents qui se sont toujours aimés, s'aiment et s'aimeront toujours. "Shut up ! SHUT THE FUCK UP ! How dare you tell me what should I do ? If I want to go out for a drink with friends, I'll do it and it is not an idiot like you who prevent me." un cri strident répondit à cette accusation fondée. La voix grave de mon père s'affaiblissait face à l'indignation non-articulé de ma génitrice qui, je le devinais, ne tarda pas avant de se saisir de la vaisselle blanche et fraîchement lavée. "What ? I forbid you to talk to me like that ! You've never been there for your family and now I'm the idiot ?" un bruit de porcelaine qui se brise vint griffer mes tympans alors que je m'enfonçais un peu plus entre mes couvertures, plongeant ma tête autant que possible dans mon oreiller. Je ne voulais pas entendre leur dispute, pas encore, pas comme hier et les jours qui lui ont précédés. "You have no idea what may be war! I was on the battlefield, I risked my life every day for my country! You can not fault me, I act as a patriot and a man! All these months on the front, I protected my children, my family. And only reward I learned that my wife, the mother of my children, fuck another! How do you want me to react to that?" J'entendis les pas rapides de mon père quitter la cuisine et se diriger vers le salon en passant rapidement devant la porte entre-ouverte de ma chambre, à moi et Orlane. S'en suivit le claquement frénétique des talons de ma mère qui rejoignirent la pièce où se trouvait déjà mon paternel. "You were absent, I was alone with the kids! I was exhausted and I thought you would never come back. I wish you had never come back. I would have felt better and the kids too !" Le bruit cinglant d'une gifle transperça l'air alors que je serrais fort mes mains contre mes oreilles pour en entendre le moins possible. Ces cris, ces insultes, elles s'incrustaient en moi et ne disparaissaient jamais. Je les entendais tout les jours, toutes les nuits et ça me rongeait, ça me détruisait. Brûlant à la racine les rêves de vie heureuse que se doivent d'avoir tout les petits garçons et petites filles. ± ± ± La lumière crue du bloc opératoire éclairait la scène de façon surréaliste, de tel sorte que tout semblait trop vrai, trop fort, trop puissant. Les chirurgiens se bousculaient autour du corps meurtris et gravement amoché d'une jeune recrue apporté en vitesse suite à une balle reçu dans la colonne vertébrale et un éclat de bombe logé dans le globe oculaire droit. La guerre avait été imprévisible, la cruauté insoutenable. J'étais parti. Loin. Très loin. A ma majorité j'avais pris mon envol, un envol que j'avais presque toujours préparé, qui m'avait semblait vital. Je n'étais pas fait pour vivre longtemps sous la coupe de mes parents, des parents ne s'aimant plus, des parents n'osant quand même pas se séparer. Par peur de la solitude et de l'endettement. Même la haine apporte le sentiment d'exister aux yeux de l'autre, de n'être pas qu'une personne au milieu de tant d'autres, une personne sans importance. Peut-être était-ce pour cela que je m'étais engagé dans l'armée. Pour pouvoir être quelqu'un, pour suivre les traces de mon père. Orlane avait essayé de me retenir, de m'en empêcher. Elle se rappelait les soirs angoissants où nous ignorions si notre père était toujours en vie où s'il était mort dans l'après-midi sur le sol terreux et sans plus de cérémonie qu'une balle dans le torse ou les poumons. Mais elle avait échoué, elle avait échoué comme avait échoué ma mère à l'encontre de mon père. Alors je m'étais enrôlé. J'étais entré dans l'armée comme on scelle son destin d'un seau de plomb en étant persuadé de crever un jour ou l'autre et de préférence le plus tôt possible. Pour ne pas avoir à supporter toutes ces horreurs très longtemps. Je me retrouvais dans le flot des coups de feux, la dure réalité qui frappait mon corps à chaque seconde. Un an, deux ans. Puis la fin. Celle qui te frappe par derrière, qui te plante au milieu du champ de bataille pour que les pieds de tes camarades te renvoient à la terre. Mais ils m'avait ramené, ils avaient cru que ce n'était pas trop tard. Que peut-être, peut-être que je pouvais encore être sauvé. Alors les chirurgiens se concentraient, s'agiter autour de mon corps strié de coupures, d'ecchymoses, de ces choses que l'on attrape lorsqu'on vit trop intensément. ± ± ± Le monde autour de moi semblait reprendre de sa conteneur, de son sens. les draps sur lesquels je semblais être allongé m’irritaient la peau, me démangeaient comme ces couvertures que les grands-mères ont et que l'on essai toujours de cacher pour qu'elle ne les retrouve plus jamais. Mon corps était endolorie, j'étais épuisé. J'avais l'impression qu'une masse de coton insoutenable s'était infiltré dans mon corps et me retenait dans les abysses de l'inconscience. J'aurais aimé m'en retourner dans cet endroit dont on n'a même pas conscience. Pour me reposer, éviter d'avoir à faire face à la situation actuelle. Non. Je ne voulais pas savoir. Et pourtant, mécaniquement, mes paupières papillonnèrent avant de s'ouvrir. C'était étrange, trop étrange. Je voyais mal, les ampoules au-dessus de mon lit d'hôpital n'étaient pas entière, pas assez longues. Puis ma jambe refuse de bouger lorsque j'entama un geste pour m'asseoir. Un frisson dans ma colonne vertébrale et je me redresse brusquement. Ma tête tourne, ma vision se brouille et mon corps, fragile, retombe contre le matelas dur et désinfecté. Lorsque je rouvris les yeux, ma soeur se penchait vers moi, le sourire au lèvre. Puis les sourires firent place aux blouses blanches, des personnes sans remords qui t'annoncent sans scrupule que ton oeil droit est foutu, que ta jambe gauche a perdue la moitié de sa mobilité et que tu risque d'être paralysé si tu fais le moindre mouvement de travers. Des personnes capable de t'enfermer deux ans entre les murs d'un hôpital pour être sûre que tu peux de nouveau marcher à peu près correctement et que tu as appris à vivre sans ton oeil. Des gens comme ça, j'aurais préféré ne jamais en connaitre. La lune semblait bouder cette nuit trop sombre pour permettre le moindre éclat de rire. Et pourtant je l'entendais. Rire. Rire aux éclats. Elle riait et c'était la plus belle chose que je pouvais entendre d'aussi loin que je puisse me rappeler. Il n'y avait jamais eu que nous. Elle et moi. Nous contre des parents qui ne pensaient pas à leurs enfants. Nous contre mon absence. Nous contre mon coma. Nous contre le monde. Orlane était la personne qui m'aidait à avancer chaque jour, ses yeux bleus me donnaient la force de sourire, de regarder de mon oeil valide les belles choses de la vie. Sa philosophie de vie était si simple, si unique. Elle reflétait la vie qu'elle avait toujours voulu avoir. Simple. Sans soucis. Elle me faisait oublier que je ne pourrais plus jamais courir. Que je ne verrais plus la vie de mes deux yeux et que le moindre mouvement pourrait me clouer au sol jusqu'à ma mort. Quel genre de vie cela pouvait-il bien être ? Le bruit de la porte d'entrée se fermant parvint jusqu'à mes oreilles alors que je regarde les toits de la ville, assis sur cette roulante qui était devenu ma compagne la plus fidèle. Elle était là lorsque j'étais fatigué de me hisser sur ma jambe et que ma main me hurlait de poser cette canne. Je regardais mon reflet qui glissait sur la vitre. Mes cheveux avaient poussés, rendant au passé la coupe rasé des camps militaires. Des petites boucles avaient faite leur apparition et leur brun contrastait avec le clair de ma peau. La paupière de mon oeil obsolète était fermée. Les pas de ma soeur entrèrent dans le salon et les rires cessèrent. "Gabriel..." le son dans sa voix me brisa le coeur. Pas elle, pitié. Elle avait toujours été la seule à ne pas me regarder comme un condamné, à me laisser une chance d'être heureux et de m'en remettre. Elle savait que c'était impossible, que je resterais toujours borgne et brisé dans une chaise roulante. Mais elle continuait de rire, de sourire, de me lancer des blagues à deux sous qui réussissaient tant bien que mal à me dérider. Mais ce soir-là, dans sa vois, j'avais ressenti ce que tout malade haïssait entendre. De la pitié. De la tristesse. Ma gorge se noua alors que je plantais mon unique regards dans son reflet. "Bonne nuit Orlane." dis-je d'un ton tremblant avant de voir sa silhouette disparaître dans le couloir. Je baissais la tête, retenant le peu de dignité que je pouvais encore espérer posséder à cet instant. Ma vue se brouilla alors que je sentis un sanglot se ruer dans ma gorge. Je n'avais jamais pleuré, jamais. Je m'étais toujours montré fort et sans peur. Le militaire blessé qui a toujours confiance en la vie. Mais ce soir, ce soir j'arrêtais les frais. Je n'irais pas mieux, je ne marcherais plus jamais comme un humain normal. Je ne verrais plus jamais la vie dans son ensemble et les simples bouts que j'apercevrais auront pour seul couleur l'amertume et l'absence d'espoir. Le soleil pourra bien briller que je ne serais plus qu'aveugler par sa présence sans jamais pouvoir en apprécier les rayons. La pluie sera une multitude de goutte sans nul saveurs. Je posais mes mains sur le haut des roues de la chaise afin de me retourner et faire face au salon vide de notre appartement. Je mordis mes lèvres avant de poser la plat de mes mains sur les rebords de la chaise. Et je me hissais. J'appuyais la plante de mes deux pieds sur le sol avant de tendre mes jambes et d'y mettre toute la force qu'un pauvre rapatrié pouvait avoir. Ma respiration devint irrégulière alors que je quittais la chaise et me retrouvais en appuie total sur ces deux jambes. Un rire nerveux m'échappa alors que je restais debout, courbé sur ces jambes trop faibles pour me hisser au sommet du monde. Mais là, là, j'étais debout. J'étais debout. Et tout s'effondre, mes jambes lâches et mon corps s'effondre sur le sol. Mon visage cogne contre le parquet et je ferme mes yeux, immobile sur un sol trop dur dans un monde trop cruel. "DÉGAGES ! VA-T-EN JE T'EN PRIS !" hurlais-je alors que ma tête était sur le point d'exploser. Je plaquais mes mains contre mon visage et eus l'impression de me griffer la peau jusqu'au sang jusqu'à me rendre compte qu'un liquide carmin s'échappait de mes joues. Ma respiration était aussi irrégulière qu'un coeur en ébullition et mon coeur s'affola de plus belle lorsque mes yeux se posèrent sur mes mes doigts desquels se formèrent de longues griffes recourbés. Un hurlement de terreur vint se mélanger aux grognements de douleur alors que je maudissais la terre entière et tout ce qui pouvait exister. "Laisses moi entrer Gabriel !" supplia-t-elle alors que je l'entendais cogner contre la porte de ma chambre, pièce dans laquelle je m'étais enfermé lorsque mes mots de tête se mirent à devenir plus puissant encore. "NON ! Pars ! Orlane, dégage tout de suite !" criais-je d'un ton menaçant et plus grave qu'à l'accoutumé. Puis tout s'embrouilla dans ma tête. Ma respiration s’alourdit et sembla trouver sa force en quelque chose d'autre qui sommeillait en moi depuis cette nuit où cet animal m'avait mordu le bras. Je ne m'étais pas inquiété jusqu'à ce que soudainement je retrouve la vue de mes deux yeux et la mobilité de ma jambe morte. Je guérissais, je guérissais alors que je n'étais pas sensé guérir, jamais. Cela ne faisait pas longtemps, j'ignorais ce qui m'arrivait. Je sentais plus de choses, j'entendais mieux, plus loin, plus précisément. Je courrais plus vite, vivais plus. Comment tout ça était possible ? J'étais perdu. Définitivement perdu. Tout s'embrouillait alors que la lune atteignait sa folle course. La douleur, écrasante, faisant battre mon coeur comme jamais. Hurler ne suffisait plus, il m'en fallait d'avantage et tout se transforma autour de moi. Puis un coeur, le son des battements qui atteint mes oreilles et réveille l'instinct animal. Puis le trou noir. L'inconscience et le réveil. Du sang, plein de sang. Sur moi, sur ma peau et entre mes doigts. Son corps. Froid. Mort. Elle était parti sous mes griffes. Je l'avais tué...
Dernière édition par Gabriel L. Stormrage le Ven 14 Mar - 21:46, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mar 11 Mar - 22:18 | |
| Bienvenuuuuue :) Bon choix de vava ! :) |
| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mar 11 Mar - 22:20 | |
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| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mar 11 Mar - 22:42 | |
| Dieu Brel devrait être plus souvent cité dans des signatures ou des titres ! Notre merveilleuse langue française de tellement de poésie que ça serait dommage de l'oublier (a) Dieu de la soirée ? Je suis honoré ! |
| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mar 11 Mar - 23:13 | |
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| | | | | | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mer 12 Mar - 18:24 | |
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| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Mer 12 Mar - 20:40 | |
| Hayden en loup, ton idée à juste trop de la gueule ! Bienvenuuuue ! |
| | | | | | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Jeu 13 Mar - 0:11 | |
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| | | | | | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Ven 14 Mar - 13:43 | |
| Merci Psyche ! Je pense que ce week-end j'aurais fini mon histoire et donc ma fiche :) |
| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Ven 14 Mar - 20:38 | |
| Bienvenue sur KTE. superbe choix d'avatar, fight pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL Sam 15 Mar - 0:28 | |
| You're a winner TU AS RÉUSSI | WOW, ton histoire! Elle m'a touché! Ton écriture, tes idées, ce que tu as fait de Gabriel est vraiment excellent. Tout est PARFAIT! Je te valide avec plaisir mon louloup préféré! Bon jeu! |
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| | | | Sujet: Re: on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL | |
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| | | | on m'appelle le vaniteux, ah parce que j'ai pas le droit d'aimer ma gueule ? ± GABRIEL | |
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