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 Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor

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Eleonor E. Salesina
Member › I am a padawan
Eleonor E. Salesina
Sometimes I lay under the moon and thank god i'm breathing. Than I pray don't take me soon, cause i'm here for a reason
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J'ai posté : 161 Âge : 500 ans et des poussières, Métier : Etudiante, Situation civile : Célibataire, Race : Vampirette, Célébrité : Barbie Palvin Pseudo : Luxure Crédits : Class Whore

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MessageSujet: Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor   Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor EmptyDim 16 Mar - 21:36

C'est étrange de voir qu'à travers les siècles nous refaisons toujours les mêmes erreurs, nous détruisant peu à peu sans pouvoir jamais revenir en arrière...
Four Am, it's not a time for a nap!.
Trois heures du matin et j'étais toujours bien réveillé. Je savais que les humais devaient dormir à cette heure, mais je ne m'étais toujours pas habitué à ce genre d'horaire diurne. Il faut dire que durant plus de trois siècles j'avais parcourus le monde de nuit. Ne pouvant pas me promener au soleil. Je n'allais pas me plaindre d'enfin pouvoir aller au soleil, mais j'avais du mal à dormir la nuit. Toujours sur le qui vive et surveillant les moindres bruits qui pourraient être signe de la présence de l'homme qui me pourchassait sans cesse. Certes ce n'était pas les seules pensées qui me gardaient réveillée, non mais je suis une femme je peux avoir plus d'une occupation à la fois! Non, ma tête était occupée à penser à Nolan. J'avais fait ma petite enquête et avait appris que le beau jeune homme que j'avais aperçus la veille se nommait ainsi. Il était tout simplement magnifique. Puis il sentait bon. Vous savez, il y a 300 ans les hommes ne sentaient pas aussi bon que maintenant. Je ne sais sincèrement pas comment j'ai pu endurer de telles odeurs! C'était simplement horrible! Je me demandais si les loups sentaient toutes les odeurs aussi forte que nous? Quand je parle des loups je ne veux pas dire les créatures à poils qui se promène dans les bois en meutes non, je veux parler des humains. Pas les humains normal, les loups-garous créature de la lune vous voyez? Bref, ces créatures magnifiques et super intéressantes pouvaient-elles sentir aussi bien que moi? Surement, ils étaient un peu comme les loups et les loups avaient un bon odorat. Je demanderai à Gabriel un de ses quatre. Parlant de ce garçon, j'avais une question qui me taraudait l'esprit depuis avant-hier. Je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus cependant, je ne sais pas si c'est dû à un trop plein de ma mémoire mais j'oubliais souvent des choses ses derniers temps. Regardant l'écran devant moi, je scrutais attentivement Simba essayant de me rappeler cette foutue question. MAIS ELLE ÉTAIT VITALE CETTE QUESTION est très importante pour mes recherches. Oui, mes recherche parce que j'allais devenir la première vampire à résoudre le mystère des loups-garous. Si mystère il y avait. Une moue sur le visage je me dirigeais vers le petit frigidaire qui se trouvait près de l'entrée et sortie un pot de crème glacé à la vanille et un sac d'O positif. Ce précieux mélange me redonnerais certainement la mémoire, du moins je l'espérais. Tout en sortant le mélangeur, la chanson Hakuna Matata retentis du salon et je me suis mise à chanter en harmonie avec un lion, un suricate et un phacochère. C'est en réfléchissant à ce phacochère que la question me revint en tête. Je filais donc vers ma chambre, attrapais un manteau que j'enfilais par-dessus mon pyjamas et sortie comme un coup de vent.

J'arrivais rapidement à l'autre bout de la ville, passant du côté ouest au côté est. Me plantant devant la maison de Gabriel. Je savais que la ville était toute endormie et qu'une jeune femme, verre de milkshake vanille et O positif à la main, cognant à la porte d'un ami à cette heure n'était pas chose commune. Elle allait le devenir maintenant que je m'étais établie ici, du moins jusqu'à ce que je déménage de nouveau pour fuir Diordita. Je cognais contre la porte, attendant que l'homme daigne ouvrir. Ce qu'il ne fit pas dans l'immédiat. Il devait dormir. Non mais sincèrement qui dormait à cet heure? J'envoyais une autre slave de coup sur le bois avant que finalement la porte s'ouvre sur la tête brune de Gabriel. Lui lançant un grand sourire j'attendis sur le porche qu'il m'invite à entrer. Je l'avais déjà suivis jusqu'ici, mais jamais je n'étais entrée. « J'ai une question !!! »


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Gabriel L. Stormrage
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Gabriel L. Stormrage
Le liberté est l'un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens; qui chantent plus qu'ils ne parlent; qui demandent plus qu'ils ne répondent; de ces mots qui font tous les métiers.
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J'ai posté : 94 Âge : vingt-cinq ans Métier : barman - ancien militaire rapatrié Situation civile : célibataire Race : loup-garou Adresse : une maison rénnové par les soins de sa soeur dans les quartiers est de Twin Cover Célébrité : hayden christensen Pseudo : asylium Crédits : avatar: voir sur ce dernier

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MessageSujet: Re: Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor   Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor EmptyDim 16 Mar - 22:43



Get up werewolf



Je courrais. Je courrais pour ma vie et je finissais parfois par ne même plus me rappeler pourquoi je courrais, mais je ne pouvais pas m'arrêter, ça je le savais. Si je m'arrêtais, je crevais comme un chien au milieu d'une autoroute et ça, c'était hors de question. Je tenais pas à passer l'arme à gauche dans un pays étrangers et finir par n'être qu'un amas de chair qu'on renverrais à ma famille avec les mots habituels que les officiers se devaient de prononcer aux familles des disparus. Amas de chair car dans ces situations là, il était rare de pouvoir reconnaître l'individu autrement que par son immatricule attaché autour de son cou. Le visage était méconnaissable, le corps rarement en un seul morceau. Je ne voulais pas finir comme ça, non, alors je courrais. Je crevais de trouille, alors je courrais plus vite. La sueur coulait sur mon front et brouillait ma vue. J'avais chaud, tellement chaud. Et je continuais de courir, parce que je pouvais pas m'arrêter. Je hurlais à mes jambes de la fermer alors qu'elles me suppliaient de m'arrêter, que bientôt elles lâcheraient. Mais la volonté, ma volonté, était bien plus forte et je le savais. Elles tiendraient. Elles tiendraient aussi longtemps que je le voulais. Ma respiration percutait contre mes côtes et mon coeur battait comme si il avait perdu la tête, comme si le monde n'avait plus aucun sens et que tout pouvait exploser d'un seul coup, juste parce que le monde était épuisé de toutes ces guerres et qu'il décidait de laisser tomber, de tout arrêter. Les corps continuaient de tomber, de ramper, de hurler. On m'appelle à l'aide et je me retourne pas, je veux pas crever. Qu'on me traite de lâche, de déserteur, d'être inhumain qui laisse ses frères d'armes dans la merde. Mais je voulais pas crever, pas ici, pas maintenant, pas comme ça. Je voulais mourir vieux, dans une maison que j'aurais construit moi-même avec a mes côtés la personne à qui j'aurais décidé d'unir ma vie. Homme ou femme, j'en avais rien à faire, du temps que l'amour était là et que la passion ne s'éteignait pas. C'était tout ce qui comptait. Alors je courrais, je détalais comme un lapin devant le chasseur déterminé à ramener la pitance du souper. Je filais comme la bête que je n'étais pas encore. Et les hurlements qui ne cessaient pas, qui emplissaient ma tête et faisait écho dans mon corps. Ils tourbillonnaient dans ma tête et m'arrachait les neurones pour y faire leur nids. Comme des parasites, des fantômes qui occupent l'âme et l'esprit pour tourmenter l'homme toute sa vie. Alors je me mis à hurler, hurler pour les faire s'en aller, pour leur crier de se taire et de me foutre la paix. C'était pas de ma faute alors je courrais et je m'époumonais. Puis le bruit filant d'une balle dans mon dos. La douleur. Immense. Cuisante. Et le noir.

Je me réveillais en sueur dans un lit trop grand pour une personne seule et me redressais en posant une main sur mes poumons qui respiraient à grande bouffés. Mon corps tremblait de toute part et durant encore de longues minutes les cris ne cessèrent d'occuper ma tête. Puis les larmes, celles que j'avais l'habitude de verser après ce cauchemars. Toujours le même, toujours la même peur, les même bruit, la même fin. Et pourtant toujours les même effets. J'enfouissais ma tête entre mes mains et laissais couler les larmes sur mes paumes lisses et pourtant meurtrières. Les minutes passent et mon corps s’assèche alors que ma respiration se calme peu à peu. J'aimerais pouvoir dormir, une nuit entière, voir même deux. Mais non, le destin continuait de s'acharner et de me faire vivre sans cesse les mêmes images. J'aurais aimé être en paix putain. Pouvoir me coucher sans craindre cet instant fatidique où j’apparaîtrais sur le champ de bataille et où je finirais par crever comme un chien. Le silence environnant fut interrompu par des coups frappés à la porte. Je soupirais en maudissant la personne assez taré pour se promener dans Twin Cover à...je tournais ma tête vers mon réveil et me laissais retomber contre mon oreiller en pestant. Quatre heure du matin ! Sérieusement ?! Y avait pas plus débile comme heure pour aller réveiller quelqu'un. Si temps est que le but était de me réveiller car si c'était le cas, ça aurait été plus pratique de sonner. Mais bon j'allais pas reprocher à cette personne de vouloir être discrète. Si elle avait de la chance, je réussirais à me rendormir et la laisserais tranquille ce soir. Alors je me recouchais, passant un bras sur mon front pour en enlever la sueur. Mes paupières tombèrent et se rouvrirent à l'instant même ou le bruit d'un poing contre la porte se fit réentendre. Je pestais à nouveau et me levais. Je ne pris pas la peine d'enfiler un t-shirt, mais pris quand même le soin de me vêtir d'un bas en toile noir. Je descendis les marches menant au rez-de-chaussé, alluma la lumière du vestibule. En deux secondes, j'entendis Olive se réveiller et marcher dans le salon afin de se traîner jusqu'à sa gamelle. Je posais la main sur la poignet et ouvris cette fichu porte pour faire face à...Eleonor. Mes épaules s'affaissèrent dans un geste assez comique vu de l'extérieur mais qui décrivait parfaitement mon état actuel. Non. Non. Non. Non. Pas ça. Pas elle. Ne vous méprenez pas, j'aimais bien cette gamine (qui d'ailleurs n'en étais plus une depuis longtemps, mais ça, ça avait du mal à rentrer dans ma tête vous voyez.), mais c'est simplement que j'étais psychologiquement pas prêt à répondre à ses milliers de question à une heure comme celle-ci. " J'ai une question !!! " rien d'étonnant à cela, elle avait toujours une question. Puis une autre, puis encore une autre puis encore une autre. Toujours, ça ne finissait jamais. Parfois je me disais que ça serait bien qu'on parle d'autre chose que de ma situation dont je n'avais encore pas tout à fait le contrôle. Je savais une chose. J'étais un loup-garou, mais c'était tout. D'ailleurs, l'ironie dans tout ça, c'est que cette vampire devait plus en savoir sur ma condition que moi-même. Vous voyez l'ironie, n'est-ce pas ?

Je me laissais tomber contre le cadrant de ma porte d'entrée. "Moi aussi. Qu'est-ce qui me retient de t'arracher la tête là, maintenant, tout de suite ?" dis-je d'un ton assez énervé mais uniquement en façade, ce qui était facilement remarquable. Oui, j'avais du mal à être fâché contre Eleonor, ne me demandez pas pourquoi, j'arrivais pas. Alors maintenant qu'elle était là, elle allait poser sa question et une fois que j'aurais répondu, elle filera sans dire merci et je pourrais retourner me coucher en espérant avoir quelques heures de sommeil à point fermé. Je soupirais. "Allez, rentres." lui dis-je d'un ton plus sympathique en entamant un geste de bienvenue pointé vers mon salon d'où l'on pouvait apercevoir la queue d'Olive qui montrait sans peine la joie qu'elle pouvait avoir à manger de simples croquettes. Je refermais la porte derrière la vampire qui, je le savais, avait désormais tout le loisir d'investir les lieux et débarquer chez moi quand elle le désirait et selon son bon vouloir. Mais je ne m'inquiétais pas plus que ça, dans quelques semaines j'aurais pris l'habitude de la voir dans la cuisine avec une moue interrogative lorsque je descendrais le matin ou quand je rentrerais le soir. Avec les vampires, tout n'était que question d'habitude. J'entraînais Eleonor dans le salon et allumais les lumières de la pièce. "Je t'aurais bien proposé quelque chose, mais je vois que t'as déjà tout ce qu'il te faut" dis-je en désignant son verre au contenu douteux. L'odeur nauséabonde du sang remonta jusqu'à mon nez qui se fronça de dégoût. Je fronçais les sourcils et reculais d'un pas avant de plonger mon regard clair dans celui de la jeune femme (ou vieille vampire, tout dépend du point de vue) "C'est quoi ta question ?"
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Eleonor E. Salesina
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Eleonor E. Salesina
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MessageSujet: Re: Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor   Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor EmptyMar 18 Mar - 2:13

C'est étrange de voir qu'à travers les siècles nous refaisons toujours les mêmes erreurs, nous détruisant peu à peu sans pouvoir jamais revenir en arrière...
Four Am, it's not a time for a nap!.
Bon peut-être que d'arriver à une heure si tardive chez les gens ça peut pour paraitre impolis, ou être une attitude de mal élevé. Je tiens cependant à vous préciser que je ne suis ni l'une ni l'autre. Je suis simplement curieuse. Puis mon beau loup Gabriel était une exception. Je savais très bien que cela ne le dérangeait absolument pas. Je savais aussi qu'il ne pouvait pas résister à mes petites mimiques. C'est pourquoi, c'est sans une once de gêne que je cognais à sa porte. Lorsqu'il ouvrit la porte il se révéla à moi portant simplement un pantalon, mes yeux le parcoururent du regard. Je ne le considérerais jamais comme plus qu'un ami, mais il fallait dire que son corps n'était pas mal du tout. Lorsqu'il se laissa tomber contre le cadre de sa porte, râlant à propos de ma visite nocturne je me penchais près de lui. Lui attrapait le menton, il dépassait de la porte par chance et plantais mes yeux bleus dans les siens. « Tout simplement parce que tu m'adores. » Je lui souriais de toutes mes dents. Je savais qu'il ne resterait pas avec cette mauvaise humeur longtemps. C'était un peu la même chose de mon côté. Lorsqu'il n'arrivait pas à répondre à l'une de mes questions, l'énervement que cela me causait ne durait jamais bien longtemps. C'était un peu la même chose de mon côté. Lorsqu'il n'arrivait pas à répondre à l'une de mes questions, l'énervement que cela me causait ne durait jamais bien longtemps. Cette ville était vraiment bénéfique pour moi dit donc. Jamais je n'avais réussi à vaincre l'un de mes caprices cependant, ici avec tout le beau monde qui m'entourait je ne pouvais qu'être heureuse et laisser passer les choses qui me déplaisaient. Après tout il faut bien grandir un jour non? Puis plus j'y pensais, plus la relation que j'entretenais avec Gabriel ressemblais à celle que j'avais avec mon jumeau. Mon pauvre Don. Je sentis un grand malaise m'envahir, NON?! Sérieux? Tu penses à ton frère que tu as tué et tu te sens mal? Ça m'étonne. Je sais que c'est ce que vous vous dites au fond de vous, n'essayez pas de nier. Laissez-moi au moins défendre mon point, vivre chaque jour avec cette pensée, ça me tue. Vivre avec le manque de mon petit bout de frère blond me noie à petit feu. Mais je ne peux pas arrêter de vivre pour lui. Je l'ai compris il y a des années de cela. Bon peut-être pas autant... depuis 1923. Le moment ou de plein fouet toutes mes émotions sont revenues m'assaillir. Lorsque que je me suis rendu compte que pour tout oublier j'avais tué des milliers d'innocents. Tuer avec raison ne me posais aucun problème, mais des pauvres innocents? Mon frère n'aurait pas voulus cela. J'essayais donc ce me remettre sur le droit chemin, car je savais que c'est ce qu'il aurait voulus.

Il me sortit de mes pensées en m'invitant à pénétrer dans son antre. J'accédais à sa demande en sautillant. Observant la pièce je me retournais vers lui avec un petit regard désapprobateur. Je lançais un autre regard dans la pièce qui était... simple et pas bien bien grand. Bon d'accord je l'avoue je vis simplement dans un petit studio, mais au moins j'ai le goût de le décorer correctement. Toute personne normale n'aurait pas remarqué que cette pièce manquait de luxe. Cependant, moi j'avais remarqué et si j'étais pour l'adopter comme mon nouveau jumeau il allait bien falloir qu'il ait une décoration amusante à regarder. « Je suis déçus, je croyais meilleurs de toi. Il va vraiment falloir que je t'apprenne c'est quoi avoir du goût. » Bon d'accord peut-être y étais-je allée un peu fort, mais je savais qu'il me pardonnerait. « Samedi ne prévois rien je vais t'acheter de vrai meuble et on rénove tout! » je ponctuais ma phrase en tapant dans mes mains, heureuse et peut-être trop enthousiaste. Je me laissais tombé près de l'animal qui grignotait dans sa gamelle et lui flattait doucement les oreilles. Buvant par slave mon étrange mélange. Lorsque Gabriel mentionna un sourire vint perler sur mes lèvres. Voyant sa petite grimace de dégout je me levais, m'approchais et lui mis sous le nez. « C'est délicieux tu veux gouter? » Puis j'explosais de rire à voir sa tête. J'adorais l'embêter, mais comme il me le rappelait je n'étais pas ici que pour plaisanter. J'avais une question et super important d'ailleurs, à lui poser. Je me postais donc bien droite devant lui, un regard très sérieux au visage et me lançais : « Alors, j'écoutais le roi lion l'autre jour, en fait tout à l'heure aussi, mais ce n'est pas de cela que l'on parle. Puis je me questionais, dans le dessin animé Pumba n'a pas de poil alors que les phacochères généralement ils en ont! Tu es bien d'accord? Bref toutes ses interrogations m'ont mené à m'interroger sur ce qui suit. Quand tu te transforme, est-ce que ca te fait mal quand les poils poussent et après rentre dans ta peau? »
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Gabriel L. Stormrage
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Gabriel L. Stormrage
Le liberté est l'un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens; qui chantent plus qu'ils ne parlent; qui demandent plus qu'ils ne répondent; de ces mots qui font tous les métiers.
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MessageSujet: Re: Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor   Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor EmptyMar 18 Mar - 18:21



Get up werewolf



Je ne pouvais pas me vanter d'avoir un jour été proche de quelqu'un. Si j'y regardais de plus près, je pouvais même affirmer que je n'avais jamais eu de réels amis. Excepté ma soeur, mais elle était de ces cas qui confirment la règle, voyez-vous. Je ne pouvais reprocher à personne ce fait. Après tout, qu'aurais-je fait d'amis ? Je n'en avais nul utilité. Je n'avais jamais été le genre d'enfant qui court après la socialisation, après des amis même futiles. M'entourer d'une ribambelle de connaissances, d'amitiés fausses dans le fond, ne m'aurait rien apporté, je n'en avais pas besoin. Je n'ai jamais franchement eu besoin d'amis. Je me contentais à moi-même, j'étais le type de petit garçon qui étudie dans son coin, qui regarde les autres jouer dans la cours sans les envier, mais qui s'attarde tout de même sur la façon dont les autres s'amusent, sur la façon dont je n'avais pas besoin de rire de cette façon. J'avais des lunettes, ça peut paraître cliché, mais j'avais des lunettes. Ces verres me suivirent jusqu'à mes études, mes vingt ans. Je me coupais rarement les cheveux, laissant apparaître des bouclettes sur ma tête flanqué de l'étiquette "intello". Mais cette étiquette était la seule que je pouvais avoir. Je me réveillais le matin, je partais à l'école, écoutais en cours, faisait mes devoirs du meilleur que je pouvais et collectais les notes qui en résultait. De bonnes notes si ce n'est les meilleurs, mais je faisais tout pour. Avoir de bonnes notes faisait plaisir à mes parents, et c'était surement les seuls instants où mon père m'accordait un minimum d’intérêt. Grandir sans l’approbation d'un père ne fut pas chose facile. C'était la raison pour laquelle j'étais rentré dans l'armée, pour essayer d'attirer son attention. Parce qu'en m'engageant j'allais risquer ma vie, j'allais me mettre en puéril et qu'il risquait de me perdre. Loin de moi les idées de protection du pays et des valeurs américaines. Non, je m'en fichais. Je voulais juste que mon père me remarque, me dise qu'il m'aimait et me supplie de rester auprès de lui et de notre famille. Mais rien. Absolument rien. Il ne me dit même pas au revoir. En fait, je crois que je m'en étais douté. Mais ça ne m'avait pas arrêté, je m'étais quand même engagé, j'étais quand même parti en Orient pour mener une bataille qui n'avait jamais été la mienne. Dans l'armée, on crée des liens, mais des liens de survie. On se lie d'amitié avec les autres parce que sans ça, on devient fou. Parce que les cris la nuit crèvent les tympans et que si on a plus personne avec qui parler, on perd la tête, on se laisse submerger par toute la misère de la guerre et on en vient à vouloir abréger ses souffrances, à se planter un couteau dans le corps ou une balle de plomb dans les tempes.

"Je suis déçus, je croyais meilleurs de toi. Il va vraiment falloir que je t'apprenne c'est quoi avoir du goût." je la regardais en haussant les sourcils. Avoir du goût ? J'étais un mec, je me fichais de la couleur du canapé sur lequel je me laissais tomber certains soirs avec pour seul désir de se perdre dans les nombreuses chaînes télévisés pour finir par éteindre et me coucher. Qu'il y est des fleurs ou non, ça changeait pas ma vie. Alors je pouvais comprendre qu'une femme pouvait y porter de l'importance, mais pas moi. Mais peut-être que je devrais commencer à regarder plus que ma petite personne, peut-être que personnaliser un peu plus l'endroit m’enlèverait cette impression d'habiter chez quelqu'un d'autre. C'était Orlane qui était chargé de la déco, moi je me morfondais sur moi-même. Sentant cette vieille tristesse âcre remonter le long de ma colonne vertébrale, je l'envoyais voler au loin et me concentré sur l'imposition d'Eleonor. "Samedi ne prévois rien je vais t'acheter de vrai meuble et on rénove tout! " dit-elle en ponctuant sa phrase d'un claquement de main. J'ignorais pourquoi, mais la perspective d'une journée en la compagnie d'Eleonor a faire des choses bassement humaine et matérielle me plaisait beaucoup. Cela faisait des semaines que je n'avais pas fait quelque chose de purement humain, quelque chose qui ne nécessitait pas une connaissance du surnaturelle. Parce que ouai, tout ce qui arrivait dans ma vie était surnaturelle. Tout. Alors passer une journée à acheter des meubles et repeindre la baraque, ouai, ça me plaisait bien. "Je vais devoir libérer mon emploi du temps dans ce cas..." fis-je mine de râler, plus pour l'enquiquiner que pour réellement exprimer un quelconque agacement que je ne ressentais aucunement. Eleonor s'approcha d'Olive et flatta l'animal qui releva la tête de sa gamelle pour tourner son visage charbonneux vers la vampire. Un sourire sincère se forma sur mon visage alors que j'observais les yeux de mon chien. Je la vis remuer la queue avant de se remettre à manger. Je ne savais ce que je ferais sans cette grosse boule de poil. Puis, en un quart de seconde, je me retrouvais avec l'horrible mixture contenu dans le verre d'Eleonor sous le nez. Un soubresaut me traversa alors que toute la senteur et les effluves de sang mélangé à la glace me transpercèrent pour me faire frissonner de tout mon sou. Quelle horreur ! Mon visage se crispa alors que je fis quelques pas en arrière, mon arrière-train butant contre un meuble de rangement, brun, vieux. "Non, ça va aller, merci bien. J'ai déjà mangé." articulais-je en tentant de faire passer la nausée fugace et tenace qui ne mit pourtant pas longtemps à s'éclipser. Le visage d'Eleonor changea radicalement d'expression alors que je la vis se redresser et me regarder avec le regard le plus sérieux que je pus lui connaitre. Ah, la question. Je me demandais..."Alors, j'écoutais le roi lion l'autre jour, en fait tout à l'heure aussi, mais ce n'est pas de cela que l'on parle. Puis je me questionais, dans le dessin animé Pumba n'a pas de poil alors que les phacochères généralement ils en ont! Tu es bien d'accord? Bref toutes ses interrogations m'ont mené à m'interroger sur ce qui suit. Quand tu te transforme, est-ce que ca te fait mal quand les poils poussent et après rentre dans ta peau?"...qu...quoi ? Attends, sérieusement ? Les poils ? C'était ça, sa question super importante qui l'empêchait de dormir et qui l'avait obliger à venir me réveiller à quatre heure du matin alors que je bossais demain midi ? Je plaquais ma main contre mon visage. Elle était irréparable. J'inspirais grandement avant de libérer mon visage de ma main et de poser mes mains sur le meuble derrière moi afin de m'appuyer légèrement dessus. "La première fois oui, mais la première fois que tu te transforme, tout te fait mal. Mais maintenant, non. Je le sens, c'est pas indolore, mais ça ne fait pas mal. C'est comme si je te demandais si ça te fait mal quand tes cheveux poussent." répondis-je en ponctuant ma phrase d'un ton ironique. J'ouvris ma bouche pour rajouter quelque chose quand un bruit attira mon attention. La cuisine. Je soupirais et me dirigeais vers la dite pièce qui était, je devais l'avouer, ridiculement grande. La source du bruit fut évidente à l'instant même où mes pas frôlèrent le carreau de la pièce. Olive. L'animal était en appuie sur ses deux pâtes arrières et tentait d'attraper un sachet qui avait dû attirer son attention et piquer sa curiosité à vif. A côté de l'animal, un saladier, brisé. "Olive." dis-je d'un ton ferme et bien trop caverneux pour être celui d'un homme normal. L'animal se tourna vers moi et baissa ses oreilles avant de filer se coucher dans son panier près de la baie vitrée. Je refluais un grognement qui s'échappait du fond de ma gorge qui ressemblait plus à un grondement lupin qu'autre chose. Je massais rapidement mes tempes avant de m'avancer vers les dégâts et de me baisser pour en ramasser les morceaux. "Tu as encore une autre question où je vais pouvoir retourner me coucher ?" demandais-je calmement à Eleonor qui m'avait suivit dans la cuisine.
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Eleonor E. Salesina
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MessageSujet: Re: Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor   Get up werewolf ~ Gabriel/Eleonor EmptyJeu 20 Mar - 22:38

C'est étrange de voir qu'à travers les siècles nous refaisons toujours les mêmes erreurs, nous détruisant peu à peu sans pouvoir jamais revenir en arrière...
Four Am, it's not a time for a nap!.
Le sourire, qui se trouvait toujours sur mon visage en présence du beau brun, s’élargit encore plus lorsqu'il me confirma, à sa façon, que je pourrais le trainer dans les boutiques de meubles samedi. J'avais déjà une petite idée de ce que j'allais faire de l'endroit. J'allais rendre cette maison beaucoup plus jolie. Je ne voulais cependant pas la mettre trop à mon image, c'est d'ailleurs pour cette raison que j'avais invitée Gabriel avec moi. Il fallait qu'il aime au moins un peu ce que j'allais acheter! J'avais hâte, cela faisait si longtemps que je n'avais pas décoré quelque chose. Enfin, la semaine passée avec mon loft ça ne comptait pas. C'était chez moi! Oui, j'adorais faire des ''make over'' des maisons d'autrui. Pleine d'enthousiasme je me jetais au coup de Gabriel lui donnant un petit bisou sur la joue. « Ça va être super! » Oui, j'étais l'une de ces filles très, peut-être trop, affectueuse. Cette caractéristique mêlée avec mon enthousiasme n'était pas toujours bien perçus. Pourquoi donc? Simplement parce que la plupart des filles pensent que je fais soit cela pour, attirer les garçons ou parce que je veux me faire aimer. C'est simplement dans ma personnalité et qu'on se le dise. Je n'avais pas besoin de cela pour qu'un garçon m'apprécie. Quoi? Je suis belle et je le sais, je ne vois pas trop pourquoi je me le cacherais.

Après mettre lancé dans mon grand monologue pour énoncer la question qui me taraudait l'esprit je me plantais à quelques centimètres du visage de mon interlocuteur attendant patiemment ma réponse. Bon d'accords pas si patiemment que cela, je le regardais avec de grands yeux inquisiteurs. Il avait vraiment de beaux yeux, je n'avais jamais remarqué auparavant. De beaux yeux bleus exactement comme les miens. Ouah. Si je n'étais pas déjà intéressée par quelqu'un d'autre je pourrais presque dire que cet homme serait parfait avec moi comme compagnonne. Sauf peut-être pour ce côté un peu intello qu'il a. Oui bien sûr c'est une chose à laquelle je pourrais remédier facilement. De toute façon je n'étais pas intéressée de cette façon à lui. Certes s'il me proposait une belle petite partie de jambes en l'air je ne dirais certainement pas non, mais autre que cela je ne ressentais rien d'amoureux pour lui. Pas comme ce beau brun qui hantait mes pensées. Lorsqu'il répondit à ma demande, m'expliquant très sérieusement que oui les premières fois c'était douloureux, mais qu'avec le temps il s'était habitué. Un petit rire sorti de ma bouche, surtout lorsqu'il utilisa ce petit ton ironique. Un pas de plus en direction de la connaissance. Pourquoi une vampire était si curieuse à propos des loups-garous? Simplement, car ce sont des créatures magnifiques et très fascinantes. C'est à ce moment précis qu'un fracas retentit dans la cuisine. Suivant doucement Gabriel, les yeux vrillé à son dos, je regardais l'animal essayer tant bien que mal d'attraper quelque chose et qui avait malencontreusement fait tomber un saladier. Je prenais tout mon temps pour admirer la grande pièce quand la voix caverneuse, annonçant un changement dans le corps de Gabriel, me vrilla les tympans. Comment la voix d'un homme pouvait-elle changer si radicalement? C'était merveilleux! Le chien ne partageait pas mon enthousiasme cependant, elle était rapidement allée se coucher sur son petit lit. Vous ne trouvez pas que c'est trop mignon un lit d'animal? Lorsque le beau brun se pencha pour ramasser le verre brisé en morceau sur le plancher je le rejoignis et ramassais ce qui restait rapidement. « Oui effectivement, comme tu en parles j'ai une autre question. » Sachant très bien que cela l'agacerait je lui fis un petit sourire en coin ponctué d'un clin d'oeil. « Mais si tu es si presser de retrouver ton lit on peut y continuer la conversation, je suis déjà en pyjamas. » Je ris. L'idée de me retrouver dans un lit avec lui n'était qu'une simple plaisanterie, trop facile à émettre. Quoique ce ne serait pas pour me déplaire. Je le suivis, il sortait de la cuisine n'ayant plus rien à y faire, posant mon milkshake contre la table l'ayant fini. Lorsque nous arrivâmes dans l'autre pièce j'attrapais ses épaules et posais l'autre question qui me brulait les lèvres. Celle-ci me venait directement des livres fantastiques et des films que l'on voyait à la télévision. Si nous le voyons c'était certainement qu'il y avait quelque chose de vrai non? « Tu as des pulsions sexuelles plus fortes depuis que tu es ce que tu es? » Oui, dit de façon aussi crue. J'avais 500 années, les belles paroles ce n'était plus pour moi. Je n'avais pas non plus d'arrières pensées, mes rigolades de plus tôt n'étaient plus qu'un souvenir. Mon air de journaliste était revenus.
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