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 Roots of family have never end [VASSILI TWINS]

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Skëggi Vassili
Member › I am a padawan
Skëggi Vassili
LOSING YOUR MEMORY
darkness deep inside of me

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J'ai posté : 82 Âge : Est coincé dans ce corps juvénile alors qu'il affiche près de huit siècles d'existence au compteur. Métier : A suffisamment travailler pour le reste de son immortalité. Mais se fait passer en ce moment pour un simple étudiant à l'université, histoire de pourrir la vie de son frère. Situation civile : Dans une relation libre avec son ego. Est très possessif lorsqu'il s'agit de sa nouvelle poupée. Race : Suceur de sang et fier de l'être. Adresse : #25 Harrison Street (Est) qui est en fait le loft de Stephen. Célébrité : Dylan O(MG)'Brien. Pseudo : CITIZEN ✝WAR (Marina). Crédits : Class Whore & Tumblr.

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MessageSujet: Roots of family have never end [VASSILI TWINS]   Roots of family have never end [VASSILI TWINS] EmptyMer 19 Mar - 22:54


Ianov & Skëggi

Roots of family have never end


22h. Après m'être préparé pendant près d'une heure, je quittais la salle de bains satisfait du résultat. C'était enfin le jour J. J'avais attendu sagement ce moment depuis mon réveil du tombeau. Voilà plus de trois semaines que je me tenais à l'écart de mon cher frère, histoire de laisser mon comparse récolter un maximum d'informations le concernant. Je voulais tout connaître de lui : ses habitudes, ses amis, d'éventuelles relations.. bref la nouvelle vie qu'il s'était crée sans moi. Prenant donc mon mal en patience pour mieux réussir mon entreprise, j'avais longuement imaginé ces « retrouvailles ». Je voulais voir sa tête lorsqu'il découvrirait la terrible réalité. J'avais besoin de voir dans ses yeux l'horreur de mon retour. Il avait commis un acte de haute trahison à mon encontre, rompant irrémédiablement le lien pourtant si puissant qui nous avait maintenu ensemble depuis notre naissance, et ce même avant. Après tout ce que j'avais fait pour lui, tout ce que j'avais enduré sans broncher pour le protéger des autres ainsi que de lui-même, voilà comment il avait su me remercier. Si tenté que j'eusse encore une once d'humanité en moi, j'aurais pu dire qu'il m'avait brisé en agissant de la sorte. Heureusement pour mon propre bien, j'avais endigué cette saleté inutile depuis un bout de temps désormais. Tout en descendant l'escalier, je réajustai le col de ma chemise noire au même teinte que le reste de mon costume. Une fois dans le salon, je regardai mon reflet une dernière fois dans le miroir avant d'attraper le masque de démon siégeant sur le bord de table. « N'oublie pas de rentrer avant minuit Cendrillon », railla Stephen affalé dans le fauteuil tout en regardant la télévision. Encore une invention des plus loufoques que cette grande boîte à la technologie surprenante. Il s'en était passé du progrès en deux cents ans, chose que j'avais encore du mal à concevoir. Ne relevant même pas l'allusion du propriétaire des lieux – car je ne comprenais pas en quoi cette histoire écrite par Charles Perrault, un illuminé obsédé shooté à l'absinthe dont j'avais pu faire la connaissance à l'époque – avait quelque chose de comique. Mais soit, je commençais à apprendre que le lycan avait un humour bien particulier. Inspirant profondément pour éviter de commettre un meurtre une fois de plus, je levai les yeux au ciel en guise d'agacement. « Un jour je me ferai un malin plaisir de te transformer en descente de lit Stephen.. », lui répondis-je d'un ton cynique alors que je refermai la porte derrière moi, prêt pour le grand spectacle.

Ce soir là l'adjoint du maire organisait une grande fête au sein de sa demeure et ayant appris que Ianov s'y trouverait, je m'étais débrouillé pour m'y introduire également. Bien sûr j'aurais pu aller à la rencontre de ma moitié il y a de ça bien longtemps, dans sa maison par exemple, seul avec lui mais cela n'aurait pas été aussi amusant qu'au milieu d'une foule d'humains fragiles. Je voulais qu'il se sente pris au piège et qu'il ne puisse pas me duper de nouveau. Cette fois c'est moi qui avait les clefs en main de la situation. Ianov ne pourrait que subir, être spectateur de sa propre surprise et peur que je ne tente quoi que ce soit. Enfilant mon masque démoniaque sombre couvrant la quasi totalité de mon visage, personne ne pouvait me reconnaître – ou tout du moins pensait que j'étais lui. Je franchissais le seuil de l'entrée après m'être fait invité et pouvais enfin profiter des festivités. L'endroit grouillait d'individus ayant tous sorti leurs plus beaux costumes pour attirer l'attention. Ange et démon était le thème. Mais pour ma part, seul l'un d'entre eux m'intéressait. Après plusieurs minutes de recherches, je tombais enfin sur lui.  Il se trouvait près du buffet, en train de se servir un verre. Après tout ce temps, voilà que je me retrouvais à quelques mètres de lui. Si mon coeur avaient encore pu battre, il aurait sûrement accéléré au vu de toute cette excitation. De là où je me trouvais je pouvais clairement distinguer Ianov vêtu d'un costume bien plus claire que le mien, son visage partiellement dissimulé d'une sorte de petit masque vénitien à l'aspect angélique. Comme c'était surprenant. De nouveau nos caractères distincts se répercutaient dans le choix même de nos déguisements. Avec une assurance et un calme immuable, je m'approchai de lui pour me tenir juste à ses côtés ; feintant le fait à mon tour de me servir un whisky sans glace. Au moment je fis exprès de rendre ma main droite bien visible aux yeux de mon voisin. Il n'en fallut pas plus à Ianov pour se pencher sur la chevalière que je portais à l'annulaire. Nous avions la même. Elle nous représentait parfaitement et nous avait respectivement protégé des rayons du soleil depuis ces nombreux siècles. Mais à peine eut-il le temps de réagir en tournant la tête que déjà je disparaissais de sa vue. Je le laissai paniquer quelques secondes avant qu'il ne me retrouve au loin. Nos regards se croisèrent un bref instant puis je m'enfonçais dans une pièce du manoir censée être condamnée pour le reste des invités. Il ne me restait plus qu'à attendre sa venue. Et Ianov ne se fit pas prier puisqu'il franchit à son tour l'entrebâillement des lieux, après avoir fermé la porte derrière lui. Jubilant derrière mon masque, je décidai de le retirer pour mieux admirer l'expression de ses traits. « Bonsoir mon frère. Ça faisait longtemps », laissai-je alors échapper d'une voix posée et délicieusement dangereuse. Au même moment un petit rictus de satisfaction vînt se dessiner sur le recoin de mes lèvres. « Surpris de me voir ? »

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Ianov Vassili
Member › I am a padawan
Ianov Vassili
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J'ai posté : 56 Âge : sept cent quatre-vingt ans, mais promis je ne t'en voudrais pas si tu penses que j'ai dix-huit ans Métier : Ça ne sert pas à grand-chose, mais je suis étudiant pour le moment. On verra quand je manquerais d'argent Situation civile : Seul et je préfère le rester plutôt que de m'attacher à quelqu'un dont le temps risque de me séparer Race : Tu prends un curly, tu fais comme dans la pub et t'as une petite idée de ce que je suis. Célébrité : Dylan O'Brien Pseudo : Sushi Crédits : Bombshell & Mirror wax & tumblr

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MessageSujet: Re: Roots of family have never end [VASSILI TWINS]   Roots of family have never end [VASSILI TWINS] EmptyJeu 20 Mar - 18:46

Roots of family have never end.

Ce soir, c'était fête ! Ce n'est pas parce que j'étais un buveur de sang que je devais me priver de participer à ces célébrations amusantes. En plus, je ne buvais jamais directement à la source. En soit, je ne pouvais nier que c'était meilleur, mais l'idée même de faire du mal à quelqu'un me rebutait plus que le goût du sang d'animaux. Et puis, de temps en temps, je me remplissais de poches. Ça conservait ma force et c'était meilleur et sans douleur ! Quoiqu'il en soit, je ne raterais pour rien au monde cette fête. J'étais sûr en plus de retrouver des connaissances de la fac et puis, je savais que j'allais m'amuser. C'était ce que je voulais, pouvoir vivre normalement, être comme tout le monde. C'est ce que j'ai toujours voulu alors chacun de ces petits instants humains me comblaient de joie. J'étais tellement excité que je me tortillais sur place en me demandant ce que j'allais mettre. Je me fichais de mon style vestimentaire d'habitude, mais ce soir, il fallait être bien habillé. Après avoir enfilé plusieurs tenues, ma colocataire a décidé qu'une couleur plutôt claire m'irait mieux et m'a ainsi choisi mes vêtements. Prim était un amour en plus d'être de bon conseils. J'enfilais alors ma tenue, m'étant lavé et préparé préalablement. Il ne me manquait plus que la touche finale, le masque. J'en avais trouvé un au marché qui m'avait attiré de suite. Un masque vénitien angélique. Je n'ai pas le mérite d'être un ange, je suis plutôt un démon étant donné ma nature. Mais pour un soir, juste ce soir, je voulais avoir l'impression de l'être. Jamais je ne le serais et jamais je n'en verrais après tout. Le Paradis, ce n'est pas pour les monstres comme moi. Oui, j'y croyais. Je savais que ça avait quelque chose de ridicule, mais je me plaisais à croire à deux mondes différents après la mort. Je me plaisais à croire qu'une vie emplie de bonnes actions menaient à un endroit paisible, pour ceux qui pouvaient y aller. J'enfilais finalement mon masque et m'admirait dans le miroir. J'étais fier du résultat, même si j'en faisais peut-être trop. Je me tournais vers Prim, attendant son jugement. Elle s'approcha de moi, posa ses mains sur mes épaules et m'embrassa à la joue. " Tu es splendide ! " Je souriais en guise de remerciement et me dépêchais de partir avant d'être en retard, lui promettant de ne pas rentrer trop tard. C'était assez ironique pour une créature de la nuit, mais c'était surtout pour lui promettre de revenir. J'observais autour de moi avant d'utiliser la force décuplée dans mes jambes pour me rendre plus vite à la fête. Bien entendu, je m'arrêtais un peu plus loin et faisait mine d'être venu à pied.

Je saluais l'hôte de ce soir qui se tenait devant la porte et invitait tout le monde à entrer. De ce fait, je pouvais franchir le seuil de la porte et je pouvais entrer comme bon me semblait. Certaines connaissances me saluaient, je les saluais en retour et je parlais un peu avec eux. Je rigolais, j'écoutais, j'observais. C'était tout bête, mais je m'amusais bien. Un instant, le verre qu'un ami m'avait amené était vide alors j'étais parti me servir à nouveau. L'alcool aidait à faire passer la soif de sang alors dans ce genre de soirée, c'était toujours bien d'en boire au moins un peu. Quelqu'un s'amena à mes côtés et je n'y fis pas vraiment attention, jusqu'à ce que la main de l'inconnu entre dans mon champ de vision et que j'aperçoive la chevalière qu'il portait. Je ne la connaissais que trop bien et nous n'étions que deux à la porter. Mais... C'était impossible... Je me tournais d'un coup sec et plus personne. Est-ce que je devenais fou ? C'était forcément la chevalière de Skëggi puisque je portais la mienne, mais... Ma culpabilité me rendait peut-être fou oui. Mes yeux s'arrêtèrent sur une personne alors que je cherchais partout et je sentais presque la sensation de mon cœur battre de nouveau. Je m'approchais de lui, instinctivement et réduisait cette distance qui nous séparaient lui et moi. J'étais partagé entre la joie, la surprise, la culpabilité, la peur et tant d'autres émotions. Mon frère retira finalement son masque et mon cœur aurait pu louper un battement en revoyant ce visage. Deux cent ans que je ne l'avais pas vu, deux cent ans que je l'avais trahi. " Bonsoir mon frère. ça faisait longtemps " Je déglutis difficilement, sentant très bien la rancœur qu'il me vouait à ce moment même. Comment lui en vouloir après tout ? " Surpris de me voir ? " Je ne trouvais plus les mots. Je ne pouvais qu'entrouvrir la bouche et rester ainsi pendant plusieurs secondes. Je ne savais pas comment réagir, je n'arrivais même plus à mettre de l'ordre dans ce que je ressentais. " Skë... Skëggi... "

Ce fut la culpabilité qui me vint en premier. Je retirais mon masque à mon tour alors que quelques larmes coulaient le long de mes joues. Je m'en voulais de lui avoir fait subir ça, je m'en voulais tellement... La joie ensuite. Je n'ai pas réfléchi et j'ai brisé le peu de distance entre nous, l'entourant de mes bras dans une étreinte fraternelle. J'étais tellement heureux de le revoir, malgré tout. Finalement, la peur suivit et je le relâchais avant de me reculer un peu. Que comptait-il me faire ? Il était incapable de me tuer, tout comme j'étais incapable de le tuer. Nous n'étions pas que des frères, nous étions chacun la moitié de l'autre. Le perdre signifierait perdre une partie de moi et je n'étais pas sûr de survivre si ça arrivait. J'observais les alentours d'un regard paniqué, constatant à nouveau que la salle était remplie et mon cerveau se mit en route. Je le fixais à nouveau, lui lançant un regard terrorisé. " Écoute Skëggi... Je sais que tu m'en veux et crois-moi, je m'en veux énormément aussi. Mais si tu dois t'en prendre à quelqu'un, c'est à moi. Je suis le seul fautif, pas vrai ? Alors je dois être le seul puni. " Mais il savait très bien que faire du mal à d'autres me ferait du mal et ainsi il me punirait. J'étais complètement à sa merci ce soir et je ne savais pas à quel jeu il comptait jouer cependant, je n'avais pas d'autres choix. J'étais son pion et il savait qu'il pouvait faire ce qu'il voulait de moi. J'essuyais mes joues et mes yeux légèrement rougies. " Je suis désolé mon frère... Vraiment. Tu ne m'a pas... Tu ne m'as pas laissé le choix... " Quoique je dise, j'étais certain de l'énerver. Mais il y avait une chose que je voulais savoir par-dessus tout. Une seule et unique chose. " Comment es-tu sorti de ton tombeau ? J'étais pourtant sûr que personne ne pourrait te trouver... " Hormis moi et je connaissais l'endroit par cœur pour y être allé un jour par an pendant deux cent ans.
lumos maxima
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