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 how can you know it, if you don't even try? ❧ riley.

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Lenny Abbot
Member › I am a padawan
Lenny Abbot
J'ai posté : 98 Âge : 22 ans. Métier : Etudiant en mythologie comparée & vendeur à la boutique d'antiquités. Situation civile : Célibataire. Race : Loup-garou. Célébrité : Tyler Posey. Pseudo : Lou. Crédits : Avatar (blondie). Signature (code by dusty scarecrow) (gif by tumblr).

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MessageSujet: how can you know it, if you don't even try? ❧ riley.   how can you know it, if you don't even try? ❧ riley. EmptyDim 13 Avr - 18:55

Riley ∞ Lenny
What if there was no lie
Les sourcils froncés, une expression concentrée sur le visage, Lenny lisait l'inventaire des réceptions de la semaine. Il ne devait manquer aucun élément, aucune babiole, aucun défaut. Il comparait régulièrement avec les prix que lui avait indiqué Stephen et lorsqu'il était certain de sa décision, il prenait l'une des petites étiquettes préparées à l'avance, inscrivait la somme demandée de sa plus belle plume, et l'attachait à l'objet à vendre. Puis il déposait ce dernier sur un bureau derrière lui, dans l'attente de l'étape suivante, celle qui consistait à mettre les plus beaux produits en valeur dans le magasin ou de ranger les autres à l'endroit qui leur revenait. Un léger mal de crâne le lançait régulièrement : on était à moins d'une semaine de la pleine lune. Lenny ferma les yeux en inspirant longuement, tandis qu'il se frottait inconsciemment le front. Finalement, il déposa la liste sur le bureau, cochant rapidement tous les articles qu'il avait déjà traité, avant de retourner dans la boutique. L'air y circulait plus librement et peut-être que de ne rien faire pendant un moment l'aiderait à retrouver ses esprits.
Le jeune homme s'installa sur un tabouret, derrière le comptoir de paiement, croisa les bras sur ce dernier et déposa son menton dans le creux que cela formait. Tout en observant le magasin immobile, un sourire étirait lentement ses lèvres. Il finit par s'endormir avec le visage d'un idiot bien-heureux, rêvant probablement de licornes roses et vert amande. Un filet de bave se fraya même son chemin entre la commissure des deux lèvres de l'Américain, qui se contenta de vaguement l'essuyer dans son sommeil. Un ronflement discret se faisait parfois entendre, brisant la quiétude des lieux.
Leonard s'éveilla en sursaut quand le carillon, qui signalait l'ouverture de la porte ou un coup de vent un peu brusque, résonna jusqu'à ses oreilles lupines. Perdu, hagard, il bégaya, tentant de reprendre ses esprits : « Euh, bonjour, je peux vous aid... » Son regard brun se posa alors sur une silhouette familière et sa voix se cassa. « Oh, salut Riley ! » lança-t-il sur un ton bonhomme tout en se frottant vigourement les yeux, sortant enfin complètement des bras confortables de Morphée. Se raclant la gorge, il se redressa et sauta du tabouret, remettant son t-shirt correctement en place. Il avait appris à restreindre ses instincts exhibitionnistes lorsqu'il travaillait à la boutique. Il se dirigea rapidement vers la jolie blonde, un sourire agréable sur les lèvres.
Il n'avait pas la tête à jouer aux jeux de Riley, et espérait secrètement qu'elle ne ferait pas la difficile ce jour-là. Il adorait la jeune femme, mais cette dernière ne lui donnait pas tellement d'occasions de le lui montrer, le poussant parfois à bout, s'opposant à lui dès qu'elle le pouvait, le faisant tourner en bourrique. Lenny y répondait par ses sourires ravageurs et ses piques ironiques, mais dans le fond, il aurait préféré que leur relation soit davantage pacifique. Même s'il y avait des avantages à la situation, comme de voir l'air contrarié de la louve lorsqu'elle n'avait plus rien de percutant à répondre, ou de lui rappeler pendant des jours et des jours que Stephen avait suivi son avis plutôt que le sien. Il appréciait malgré tout le rôle de petit frère chiant qu'elle semblait, de son point de vue, lui avoir attribué dès qu'elle avait eut connaissance de son existence. Un sourire en coin, il finit par demander : « Je peux t'aider ? » Il n'avait pas exactement l'habitude de la voir trainer ici. Riley était beaucoup de choses, mais certainement pas une fan d'antiquités.
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MessageSujet: Re: how can you know it, if you don't even try? ❧ riley.   how can you know it, if you don't even try? ❧ riley. EmptyDim 13 Avr - 22:38

Lenny & Riley

I don't want to try.

how can you know it, if you don't even try? ❧ riley. Tumblr_inline_mri78vn1Kq1qz4rgp how can you know it, if you don't even try? ❧ riley. Tumblr_m1f8uiWA0W1r9c0wt

Le jeudi. C'était mon jour préféré car c'était mon jour de congé, une petite coupure dans la semaine qui me permettait de souffler et de paraître humaine auprès de mes voisins. Je profitais de ce temps pour faire le ménage ou les courses, saluant les autres habitants de mon immeuble en échangeant quelques banalités. Je ne voulais pas éveiller les soupçons en étant mystérieuse ou introvertie, tant qu'on ne me trouvait pas étrange je ne risquais rien. Stephen m'avait fait comprendre que je ne devais pas créer de problèmes.
Je m'étais accordée une grasse matinée, de plus en plus épuisée par le travail mais surtout par la pleine lune qui approchait. Cette fois ça allait être différent. J'allais passer ma première lune avec une meute, ma meute. J'étais surexcitée à cette idée, impatiente de voir comment cela se passerait. Après une petit-déjeuner copieux étant donné que j'étais toujours affamée au réveil, j'avais filé à la douche avant d'enfiler mes vêtements. Connaissant mon emploi du temps, j'avais opté pour une jolie robe rouge et des talons assortis. La féminité devenait plus facile pour moi à apprivoiser depuis que mon alpha envisageait de se servir de mes charmes pour ces projets. Je ne pouvais qu'approuver ses décisions et m'appliquais donc à être agréable à regarder. Un peu de maquillage et je quittais mon appartement.

Cela faisait maintenant un moment que j'étais installé en Géorgie. J'avais fait « mon nid » ici. Dans une petite ville, les habitudes étaient faciles à prendre entre mon travail, ma meute et mon appartement. J'avais maintenant fais la rencontre de mon alpha et des autres membres de la meute. Autant j'étais aussi proche qu'une sœur avec Gabriel, autant j'avais du mal à me montrer agréable avec Lenny. Les deux garçons étaient différents l'un de l'autre, jusqu'à même leur place dans la meute. Et c'était principalement mon problème avec Lenny. Il avait été transformé avant moi et de ce fait, avait une meilleur place que moi dans la meute. J'aurais pu m'y faire si il n'y avait eu que ça, mais j'avais appris que Stephen avait passé plus de temps à le former que moi. Ça me mettait hors de moi à chaque fois que j'y pensais. J'avais été abandonné après deux semaines, c'était à cause de cela que Kyle avait perdu la vie. Ce mec était une pourriture mais je n'avais aucun droit de lui ôter la vie. Maintenant je devais vivre avec cela. Lenny ne devait sûrement pas vivre cela sur la conscience si Stephen l'avait bien « éduqué » et cela m’embêtait. Beaucoup.
Me plaquant un sourire irrésistible sur le visage, je poussais la porte de la boutique d'antiquité. J'aimais passer voir mon alpha sur son lieu de travail car j'aimais le voir concentré sur ce qu'il faisait. De plus, étant une cliente, je pouvais jouer ma princesse sans qu'on ne m'embête. Le carillon au-dessus de la porte tinta et signala ma présence, je claquais de la langue. Ce bruit me vrillait les tympas à chaque fois. Mon regard se braqua sur le comptoir ou Lenny somnolait « Euh, bonjour, je peux vous aid... » dit-il avant de s'arrêter « Oh, salut Riley ! » Sa voix était enjouée, et ça m'énervait déjà. Lenny adorait m’embêter tout autant que j'adorais le faire. Plus je le titillais, plus il répondait, plus je m'énervais et ainsi de suite. Heureusement que c'était lui qui ne vivait pas chez Stephen, sinon il y aurait eu de la casse. Skëggi était chiant, mais j'aimais l'embêter d'une toute autre manière que Lenny. [colo=darkblue]« Je peux t'aider ? »[/color] dit-il en venant à ma rencontre, me souriant.

Je lui offrais un sourire avant de le contourner et de jeter un coup d'oeil à la boutique. «Si tu peux ranger ce sourire idiot et quitter la ville, alors tu ferais de moi la plus heureuse. » répondis-je en faisant demi-tour, mes boucles blondes tourbillonnant. « Sors Stephen de son bureau et ça sera bon, pour l'instant. » Les antiquités n'étaient pas vraiment mon truc, j'étais même plutôt mobilier contemporain donc Lenny devait se douter que je ne venais pas acheter des bibelots.

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Lenny Abbot
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Lenny Abbot
J'ai posté : 98 Âge : 22 ans. Métier : Etudiant en mythologie comparée & vendeur à la boutique d'antiquités. Situation civile : Célibataire. Race : Loup-garou. Célébrité : Tyler Posey. Pseudo : Lou. Crédits : Avatar (blondie). Signature (code by dusty scarecrow) (gif by tumblr).

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MessageSujet: Re: how can you know it, if you don't even try? ❧ riley.   how can you know it, if you don't even try? ❧ riley. EmptyDim 4 Mai - 10:25

Riley ∞ Lenny
What if there was no lie
Visiblement, les dieux n'étaient pas à l'écoute des prières de Lenny en ce joli jeudi. Il le comprit bien vite. Dès que Riley ouvrit la bouche, en fait, pour laisser son venin glisser le long des veines du jeune homme. Il perdit immédiatement son sourire, non pas pour faire plaisir à la louve, mais parce qu'elle le fatiguait à continuellement lui chercher des puces. Parfois, ça l'amusait, mais ce jour-là, il était fatigué et la pleine lune qui arrivait le mettait de mauvaise humeur. Il songeait à Clarissa, qu'il voulait continuer à aider ; mais cette nuit-là il ne le pourrait pas, étant donné qu'il s'agissait de la première pleine lune depuis que Gabriel et Riley avaient vraiment rejoint la meute. Ce serait une soirée importante et il devrait assumer son rôle de bras droit aux côtés de Stephen. Même si cela signifiait subir les remarques acerbes de la blonde plutôt que de courir le museau au vent, en laissant le sentiment de liberté s'emparer de chaque atome de son corps, en laissant la bête prendre le dessus.
Il pensait cela uniquement parce qu'elle l'avait mis de mauvaise humeur. Elle était particulièrement douée à ce jeu, alors que Lenny était plutôt quelqu'un de jovial et de calme. En réalité, il serait le plus attentionné des Bêtas pour accueillir les nouveaux loups de son Alpha. Mais il aurait préféré se faire torturer que de l'avouer à la jeune femme. « Malheureusement, ma jolie, tu es chez moi ici, » répondit-il avec un léger sourire flottant. Ce n'était pas pour rien que Stephen le gardait à ses côtés. L'américain avait une faculté certaine pour la diplomacie et savait ranger ses humeurs au fond de son cœur quand la situation l'exigeait. Le cas Riley était de ces situations-là. Il l'aurait en jouant à son jeu plutôt qu'en cédant à l'énervement, ce qui ravirait la demoiselle plus qu'autre chose. Cependant, sa remarque l'avait blessé. Il espérait vraiment qu'elle ne pensait pas ce qu'elle disait. Malgré tout ce qui pouvait les opposer, ils étaient membres de la même meute : de la même famille. C'était ainsi que Leonard le considérait. Et Riley était sa sœur, aussi insupportable pouvait-elle apparaître à ses yeux. Il ne voulait pas qu'elle le déteste. Il ne voulait pas qu'elle préfère la vie sans lui. Il voulait faire partie du paysage de la jeune femme. Il déglutit difficilement pour assurer la façade de bonhomie qui le caractérisait, surtout à la boutique.
Il lacha un léger rire quand la louve exprima sa seule requête. C'était un bon point pour lui, du coup : elle était coincée ici jusqu'au retour de Stephen. En sa compagnie. Il commençait à être un peu mieux réveillé et se sentait déjà davantage d'attaque. S'approchant doucement de sa compagne, Lenny la frola à peine en murmurant, sans la regarder : « Stephen est occupé. Il est pas là. » Posant la main sur son épaule brièvement, il ajouta : « T'es coincée ici avec moi alors ? » Il la contourna et fit mine de ranger quelques babioles en exposition près du comptoir. Il dépoussiéra la surface à l'aide d'un chiffon qu'il avait toujours dans la poche arrière de son jean avant de reposer les objets, puis il agença les petites étiquettes avec les prix d'un air absorbé. Finalement, se retournant vers la jolie blonde, il s'exclama d'un air faussement surpris : « T'es encore là ? » Avant de lui envoyer son plus éclatant sourire dans les dents. « Allez, dis moi Ri', qu'est-ce que je peux faire pour toi ? » Son ton se faisait désormais moqueur. L'absence de Stephen signifiait une chose, pour la louve : il était parti faire quelque chose. Et elle ignorait quoi. Alors que Lenny le savait.
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